Le Prophète a offert ce genre de repas après les noces (après son mariage avec Safiyya, ou avec Zaynab, par exemple). En fait, la répudiation peut être regardée comme une pilule désagréable et amère qu'on ne doit prendre qu'en cas de nécessité absolue. Au contraire, parfois on y aura recours parce qu'on vit dans une région où, à part les imams des mosquées, les musulmans ont très peu de connaissances à propos de l'islam. Mariage en islam : les indispensables ; les variantes Le cœur du mariage musulman (« roukn »), c’est le consentement des époux. Notez que c'est là la façon complète de faire. - la condition qui contredit l'un des objectifs du mariage ("Nous nous marions à condition que nous n'ayons pas de relations intimes"), Il est également normal qu'à cette occasion, ceux qui le veulent offrent, selon leurs moyens, des cadeaux à l'un, à l'autre, ou aux deux nouveaux mariés. L'islam a-t-il rendu obligatoire pour la musulmane de se couvrir les pieds aussi ? Salam alikoum je veux rectifié un truc avant de te donné mon avis sur le sujet,dans l'Islam la femme et l'homme sont égaux et de ce principe ils doivent resté PURE avant leur mariage mais malheureusement dans plusieurs payer musulmans les coutume on pris le dessus sur les valeurs de l'Islam. "Les conditions qui méritent le plus d'être appliquées sont celles qui ont été faites lors de ce qui a rendu licite les relations intimes [= le mariage]" (rapporté par al-Bukhârî). Vous gagnerez des hassanets, aiderez vos sœurs/frères en Islam et vous leur éviterez peut-être l’humiliation de finir sur des pseudo-sites de rencontres pour musulmans comme un vulgaire produit de supermarché (qu’Allah nous en préserve). Ou bien s'agit, dans ce Hadîth, d'une simple recommandation du moment que la femme se marie avec quelqu'un qui est au moins du même niveau qu'elle (kufu') ? L'intermédiaire entre Dieu et l'homme est le cœur de ce dernier, mais il faut, pour obtenir la bénédiction divine, également tenir compte du cadre que Dieu a institué. Lorsqu'elle revint, le Prophète lui demanda : "N'avez-vous pas organisé un divertissement ? Il a, de ces deux (personnes), disséminé beaucoup d'hommes et de femmes. Un cocktail met fin à la courte cérémonie. A l'époque du Prophète, à Médine, où la situation financière de nombreux musulmans était très modeste, Aïcha possédait une robe que la femme qui allait se marier lui empruntait pour ses noces (rapporté par al-Bukhârî). Le Prophète lui-même n'a offert comme repas nuptiaux que ce qu'il pouvait (par exemple lorsqu'il s'est marié avec Safiyya, ou avec Zaynab). Comment se célèbre donc le mariage religieux en islam ? Ces deux personnes se seront également, au préalable, mises d'accord sur un montant précis (douaire, "mahr"), que le mari devra donner à sa femme. En revanche, il semblerait normal qu'il n'en fût pas ainsi dans le cas d'un mariage célébré en France, terre de laïcité officielle affirmée. Il est tout aussi incompréhensible que les proches et/ou les amis du marié exercent une sorte de pression pour qu'il fasse un repas grandiose, en exigeant d'être invité ou en critiquant à tour de bras la simplicité du repas nuptial. Quelques années plus tard, Aïcha, elle, utilisa cette formule pour le Prophète lors du mariage de celui-ci avec Zaynab : "Que Dieu t'accorde sa bénédiction à propos de ta famille, ô Envoyé de Dieu" (rapporté par al-Bukhârî). Tout ceci est contraire à l'enseignement (Sunna) du Prophète. Le Prophète a offert ce genre de repas après les noces (après son mariage avec Safiyya, ou avec Zaynab, par exemple). Le Prophète a ainsi employé les formules suivantes : "Bârakallâhu lak" ("Que Dieu t'accorde sa bénédiction") (rapporté par Al-Bukhârî), "Que Dieu t'accorde sa bénédiction, déverse sa bénédictions sur toi et vous unisse dans le bien" (rapporté par At-Tirmidhî). La phrase "Waj'alûhu fil-massâjid" est faible d'après des spécialistes du Hadîth. Par contre, si ces deux personnes se marient sans s'être mises d'accord sur le montant du douaire (ni avant le contrat verbal ni lors de ce contrat), alors la femme aura droit, comme douaire, à la moyenne de ce que se voient offrir les femmes de sa famille lors de leur mariage (Fat'h ul-bârî, tome 9 p. 264). Ce Hadîth dit-il qu'il est nécessaire que le responsable soit présent au moment du mariage et donne son accord, ou bien exprime-t-il que ce qui est nécessaire, c'est que la femme qui va se marier ait eu l'accord de ce responsable, celui-ci fût-il absent au moment du mariage ? Or ni lui n'a offert comme douaire à l'une de ses femmes ni l'une de ses filles ne s'est vue offrir en douaire un montant supérieur à quatre cent quatre-vingt pièces d'argent. Réponse : Et celui qu'Il égare, personne ne peut le guider. Nous faisons ses louanges, nous lui demandons son aide et son pardon. "O les croyants, craignez Dieu et tenez des propos droits, Dieu réformera vos actions et pardonnera vos péchés. Le nouveau marié offre un repas appelé en arabe "walîma" (également appelé "ta'âm ul-'urs"). 293.). 80-81). Fatâwâ mu'âsira, tome 2 pp. Le groupe d’en face a, elle aussi, son Maolana. Avant de lire ce qui suit, je vous demande humblement de lire ces deux autres articles : - la condition qui contredit une règle claire de l'islam (comme par exemple dire "Nous nous marions, mais à condition que chacun laisse à l'autre la possibilité de lui être infidèle"), ABONNE-TOI : Nouvelle vidéo le mardi, jeudi et samedi à 7h. Le nikah est la cérémonie traditionnelle du mariage islamique. Lorsqu'elle revint, le Prophète lui demanda : "N'avez-vous pas organisé un divertissement ? Aïcha avait marié une jeune femme de sa parenté. Sur la meilleure part pré-destinée" (rapporté par al-Bukhârî). En effet, le Prophète épousa ‘Aïcha, , alors que celle-ci était petite, mais ne consomma son mariage avec elle qu’une fois qu’elle eut atteint l’âge de la puberté. Le mieux est que le montant du douaire soit également précisé lorsque les deux personnes expriment leur volonté de vivre ensemble dans ce contrat verbal (Fat'h ul-bârî, tome 9 p. 264). Annoncez le mariage" (cité dans Tahrîr ul-mar'a, tome 5 p. 81). le mariage en islam n'est pas un sacrement, c'est un contrat verbal (qui peut également être écrit) Il n'est pas besoin d'un imam ou d'un cheikh pour obtenir la bénédiction, car celui-ci n'est ni un représentant de Dieu ni Son intermédiaire pour les autres croyants. Il est sacré, c'est vrai, mais tout est sacré en islam du moment que cela est fait dans le cadre de ce que l'islam permet et avec le souvenir de la Présence de Dieu. C'est vrai. Le mariage, en Islam, a des règles que tout musulman doit suivre et veiller à les observer. "Les conditions qui méritent le plus d'être appliquées sont celles qui ont été faites lors de ce qui a rendu licite les relations intimes [= le mariage]" (rapporté par Al-Bukhârî). Les fiançailles en Islam. Ces droits sont asymétriques puisque par exemple la femme doit ob… Et craignez Dieu au nom de qui vous vous demandez, ainsi que les parentés. 59-61). Comment se célèbre donc le mariage religieux en islam ? Umm Sulaym offrit ainsi au Prophète quelque chose lors de son mariage avec Zaynab (rapporté par Al-Bukhârî). Le mariage ne doit pas être gardé secret mais annoncé. Quatre cents pièces d'argent représentaient, à l'époque, une somme permettant d'acheter quarante chèvres, ou quatre chameaux, ce qui représente une somme qui, sans être excessivement élevée, est quand même conséquente. Il est en effet incompréhensible que, comme cela se fait dans certaines sociétés, on s'endette pour faire un repas grandiose et au-dessus de ses capacités financières, ceci juste pour paraître dans la société et /ou pour respecter la tradition ancestrale. Quels sont les critères pour choisir son conjoint ? Certains savants (dont Shâh Waliyyullâh) sont toutefois d'avis que ce repas peut avoir lieu aussi bien après les noces qu'après la cérémonie du mariage elle-même (Hujjatullâh il-bâligha, tome 2 – Fat'h ul-bârî, tome 9 p. 287 – Fiqh us-sunna, tome 2 p. 495). En islam le mariage n'est pas un sacrement, c'est un contrat verbal (qui peut également être écrit). Les proches et les amis prononcent des prières de bénédiction à l'intention des nouveaux mariés quand ils les rencontrent ou apprennent qu'ils se sont mariés. Des femmes dirent ceci à Aïcha lors de son mariage avec le Prophète : "Sur le bien et la bénédiction ! Il ne faudrait pas oublier qu'il n'y a pas de clergé en islam, et que n'importe quel musulman peut faire un "nikâh" / "fâtiha" (avec l'accord du responsable (walî) de la femme bien entendu). Vous avez décrit ce mariage religieux comme étant un "mariage devant Dieu". Il ne faut pas que le douaire soit trop élevé, ni qu'il soit insignifiant. Le tout, cependant, est que chacun tienne compte de ses possibilités financières immédiates et sur le long terme. Or il arrive qu'un homme élève excessivement le montant du douaire de sa femme, au point qu'ensuite il se mette à la détester en son cœur et à dire "On me demande jusqu'au fil qui attache l'outre"" (rapporté par an-Nassâ'ï). Umm Sulaym offrit ainsi au Prophète quelque chose lors de son mariage avec Zaynab (rapporté par al-Bukhârî). Il est tout aussi incompréhensible que les proches et/ou les amis du marié exercent une sorte de pression pour qu'il fasse un repas grandiose, en exigeant d'être invité ou en critiquant à tour de bras la simplicité du repas nuptial. Récemment, la Tunisie a rompu le consensus islamique et exposé sur la place publique lhypocrite tabou obligeant lhomme voulant épouser une musulmane à se convertir à lIslam ou, autrement formulé, interdisant à un… - la condition qui touche un des droits d'une autre personne que le mari et sa femme ("Je t'accepte comme époux à condition que tu divorces de ton autre épouse"). et au jeune homme : "Acceptes-tu de prendre comme épouse Mlle Untel, le montant du douaire étant fixé à tant ?". sont-ils autorisés pour la musulmane ? Or ni lui n'a offert comme douaire à l'une de ses femmes ni l'une de ses filles ne s'est vue offrir en douaire un montant supérieur à quatre cent quatre-vingt pièces d'argent. Je voudrais me marier devant Dieu. Cependant, il est faux de croire que le "nikâh" / "fâtiha" n'est pas valable ou est de moindre valeur s'il n'a pas été fait par un imam. ABONNE-TOI : Nouvelle vidéo le mardi, jeudi et samedi à 7h. Et pourtant, c'est aussi le cas. Rien n'empêche cependant des gens d'offrir de leur plein gré de participer aux frais du repas. Il ne faut pas que le douaire soit trop élevé, ni qu'il soit insignifiant. Ce site s'adresse à des gens de confessions diverses qui cherchent à comprendre l'islam et les musulmans. Il dit par exemple au jeune homme : "Acceptes-tu de prendre comme épouse Mlle Untel, le montant du douaire étant fixé à tant ?" Il est sacré, c'est vrai, mais tout est sacré en islam du moment que cela est fait dans le cadre de ce que l'islam permet et avec le souvenir de la Présence de Dieu. Il n'y a aucun mal à ce que des femmes soient invitées à ce genre de repas : cela s'est fait à l'époque du Prophète (rapporté par al-Bukhârî), le tout étant qu'ici aussi on respecte les principes de l'islam en la matière. "O les croyants, craignez Dieu et tenez des propos droits, Dieu réformera vos actions et pardonnera vos péchés. 3') Eventuelles conditions additives au contrat de mariage, Si les deux personnes s'étaient aussi mises d'accord sur des conditions à propos de leur vie conjugale, elles les énonceront également lors de la conclusion du mariage. Les relations qui permettent de considérer une personne comme étant un héritier légal sont de trois ordres : 1- Le lien de parenté (les liens de sang). Celui que Dieu guide, personne ne peut l'égarer. De plus, le Prophète n'a pas célébré des mariages en tant que imam de la mosquée mais en tant que dirigeant sur le plan administratif ("sultân"). Il se peut également (même si ce n'est pas obligatoire, comme nous allons le voir) que ce soit un imam qui les marie. Mais je dois rappeler qu'en islam, le mariage n'est pas un sacrement, c'est un contrat verbal (qui peut également être écrit). Quels sont les critères pour choisir son conjoint ? Que dit lIslam Pour lIslam, qui sur ce point est fidèle au judaïsme et au christianisme, le mariage est lunique institution légale rendant les rapports sexuels licites. Le Prophète l'a explicitement approuvé lors de mariages (voir les références dans Tahrîr ul-mar'a, tome 5 pp. Après l'acte de mariage (ou quelque temps après, en fonction des possibilités offertes par le lieu où a eu lieu l'acte), on peut avoir recours à des chants autorisés, à de la musique autorisée (c'est-à-dire au tambourin). Dieu observe ce que vous faites" [Coran 4/1]. Il y a eu comme exemples de douaires donnés par des Compagnons à leur épouse : une cotte de maille ('Alî), quinze grammes d'or ('Abd ur-Rahmân ibn 'Awf), cent soixante pièces d'argent (un Compagnon), un verger entier (Thâbit ibn Qays), etc. Il faut aussi veiller à ne pas déranger les voisins par du bruit intempestif, conformément aux Hadîths bien connus du Prophète demandant aux musulmans de ne jamais causer du tort à leurs voisins. - la condition qui contredit l'organisation du mariage ("Je te prends comme épouse à condition que je ne te donne pas de douaire" ou "à condition que c'est toi, l'épouse, qui contribueras à mes dépenses"),  Faisant ainsi on exprime sa joie de même qu'on contribue à annoncer le mariage. et à la jeune femme : "Acceptes-tu de prendre comme époux M. Untel, le montant du douaire étant fixé à tant" ? L'intermédiaire entre Dieu et l'homme est le cœur de ce dernier, mais il faut, pour obtenir la bénédiction divine, également tenir compte du cadre que l'islam permet. (Fatâwâ mu'âssira, tome 3 p. 294, voir aussi tome 3 p. 604, voir également Markaz ul-mar'a, p. 101). Quatre cents pièces d'argent représentaient, à l'époque, une somme permettant d'acheter quarante chèvres, ou quatre chameaux, ce qui représente une somme qui, sans être excessivement élevée, est quand même conséquente. C'est ce qu'ont fait des Ansarites lors du mariage de 'Alî et de Fâtima (Adâb az-zafâf, p. 101). PLUS D'INFOS Je m’appelle Ayman, converti à l’Islam en 2004, j’avais alors 14 ans. Toutes les conditions formulées lors d'un contrat de mariage ne sont cependant pas forcément valables. Rien n'empêche cependant des gens d'offrir de leur plein gré de participer aux frais du repas. S'il n'est bien sûr pas interdit de faire un "nikâh" – ou "fâtiha" – dans la mosquée, cela ne fait donc pas non plus l'objet d'une obligation. Ce que vous nommez un "mariage religieux" est connu chez les musulmanes et les musulmans sous le nom de "fâtiha", ou de "nikâh", d'après les différents noms qui lui sont donnés dans différentes communautés musulmanes du monde. Les avis sont partagés à ce sujet entre les savants : voir mon article Est-il interdit à la femme de se marier seule en islam ? Cette expression arabe, qui désigne à la fois la fornication que l’adultère, est interdite dans l'Islam car elle est considérée comme un péché capital. Par ailleurs, les juristes ont conféré au mariage trois autres fonctions : la procréation, lobligation pour lhomme dentretenir la famille, la sauvegarde de la moralité et de lhonneur. Dieu vous observe" [Coran 4/1]. 35-45 – Al-mar'a bayn al-fiqh wal-qânûn, pp.67-70 – Fatâwâ mu'assira, tome 3 pp. Le Prophète lui-même n'a offert comme repas nuptiaux que ce qu'il pouvait (par exemple lorsqu'il s'est marié avec Safiyya, ou avec Zaynab). Mari et femme devront alors respecter ensuite ces conditions. Cependant, les Compagnons n'ont pas systématiquement eu recours au Prophète pour célébrer leur mariage, comme le montre le mariage de 'Abd ur-Rahmân ibn 'Awf (rapporté par al-Bukhârî). (Tahrîr ul-mar'a, tome 5 pp. A la mosquée, à la maison, ou dans une mairie d'un pays musulman, il n'est pas obligatoire que ce soit un imam qui fasse le "nikâh" / "fâtiha". Abû Chuqqa écrit pour sa part : "Un ami m'a raconté comment, pendant son voyage [dans un pays], une femme s'est présentée à lui en lui proposant de se marier avec elle. 35-45 – Al-mar'a bayn al-fiqh wal-qânûn, pp.67-70 – Fatâwâ mu'asira, tome 3 pp. Les proches et les amis prononcent des prières de bénédiction à l'intention des nouveaux mariés quand ils les rencontrent ou apprennent qu'ils se sont mariés. Aujourd’hui j’ai 35 … Enregistrement du mariage auprès de l'Etat civil. Cependant, les Compagnons n'ont pas systématiquement eu recours au Prophète pour célébrer leur mariage, comme le montre le mariage de 'Abd ur-Rahmân ibn 'Awf (rapporté par Al-Bukhârî). - la condition qui contredit une règle formelle de l'islam (comme par exemple dire "Nous nous marions, mais à condition que chacun laisse à l'autre la possibilité de lui être infidèle"), - la condition qui touche un des droits d'une autre personne que le mari et sa femme ("Je t'accepte comme époux à condition que tu divorces de ton autre épouse"). Aïcha avait marié une jeune femme de sa parenté. Certains savants (dont Shâh Waliyyullâh) sont toutefois d'avis que ce repas peut avoir lieu aussi bien après les noces qu'après la cérémonie du mariage elle-même (Hujjatullâh il-bâligha, tome 2 – Fat'h ul-bârî, tome 9 p. 287 – Fiqh as-sunna, tome 2 p. 495).

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